Je ne remplirai pas avec beaucoup de mots le vide que Pirotte laisse en nous.
C’est grâce à lui que la revue a pu avoir de la crédibilité dès son premier numéro et il nous a soutenus jusqu’à la fin.
Jean-Claude Pirotte dans le numéro 1 :
Final
putain d’putain d’crétin vernaculaire
tu te promèneras plus des ans sous les ciels
ouvragés comme les beaux couvre-théières
de ton adolescence à Deventer
serait temps de t’envoyer en l’air
une fois pour toutes fouette cocher !
dans la lumière du dernier péché
salut ! demain jour du nocher
j’entends son chien gémir dans la nuit belge
temps de lancer un ultime coup ta verge
entre les nichons flétris d’ton passé
foutre et rideau – tu peux t’casser